Démarche adoptée
Afin d’aborder ce problème la démarche a été d’étudier trois grands cas à pression atmosphérique :
- « MONO_FROID » : cas monophasique où l’écoulement sur la paroi est à température de de 20°C et la paroi n’est pas chauffée.
- « MONO_CHAUD » : cas monophasique avec une température en paroi inférieure à la température d’ébullition.
- « EBULLITION » : cas diphasique avec une température en paroi supérieure à la température d’ébullition.
Les deux premiers cas vont permettre également une adaptation progressive avec le logiciel NEPTUNE_CFD et permettront de voir l’influence du maillage sur l’étude. En effet celui-ci à un rôle crucial en fonction du cas à étudier et va être amené à évoluer tout au long de l’étude.
Dans un second temps nous nous attacherons à la modélisation des transferts thermiques en proche paroi (interaction avec l’autre groupe et recherches propre au nôtre). Les deux étapes seront :
- La modélisation des flux de chaleur qu’on va avoir dans un extérieur d’un réacteur à eau pressurisée.
- Code Neptune : pour le moment ce-dernier n’est pas utilisé en simulation pour l’extérieur des cuves mais pour l’intérieur du réacteur ; il est utilisé et il validé pour des écoulements d’eau à haute pression (155 bars) et haute température (320°C). La simulation sera donc réalisée à basse pression en tenant compte des modèles de flux de chaleur.
Les étapes clés :
- Angle d’attaque du problème : données du problème
- Initiation à Simail
- Initiation à Neptune
- Analyse des modèles les plus utilisés dans les différents codes de calculs (Neptune, CFX, Fluent, StarCCM+)
- Proposition d’amélioration de ces modèles
- Implémentation dans le code Neptune
- Simulation numérique avec Neptune bouillant en tube et comparaison avec les résultats expérimentaux issus de la littérature et de la thèse de Michael MONTOUT.
- Traitement de texte d’un rapport écrit.
- Préparation de diapositive sous PowerPoint.